Les mouvements de  des élèves et écoliers au sein des différentes écoles est l’un des facteurs importants qui contribuent au redressement de la qualité de l’éducation en République Démocratique du Congo, en général et en particulier dans nos villes respectives.

Pour PALUKU MAPENDANO Roland, enseignants à l’institut supérieur pédagogique de MUHANGI, les enfants qui divaguent dans des écoles évoquent généralement des causes diverses.

Cet enseignant démontre dans son allocution que  les principales  causes de  la divagation de ces enfants dans les écoles peuvent être partagées : notamment par la responsabilité des enfants eux mêmes,  ensuite celle des parents et enfin celle des écoles qui encadrent.

 Au premier lieu, notre interlocuteur laisse croire que la plus part d’apprenants qui sillonnent   les écoles les font  en grande partie pour la raison de la fuite d’échecs à côté de la réussite en  moindre effort. 

« La plus part de ces enfants qu’on voie divaguer d’écoles  à écoles, se sont des enfants qui n’ont réussi et qui trouvent une astuce pour changer, mais aussi pour monter de classe dans une autre école. Ça c’est un problème d’irresponsabilité des enfants liée à l’amour de la facilité que nous connaissons dans nos écoles. C’est comme si dans l’environnement actuel, les enfants sont déjà bien préparé qu’on n’échoue plus.» a dit l’enseignant MAPENDANO Roland.

En deuxième lieu, ce pédagogue de formation pense que le manque de suivi régulier pour certains parents de l’évolution de leurs enfants au sein de leurs écoles respectives, amène ces jeunes gens à se distinguer dans cette pratique de chose.

« Tout parent a le devoir de suivre l’éducation de son enfant. Et le parent qui a inscrit l’enfant dans une école donnée est appelé à suivre  la formation de cet enfant là. Il n’est pas normal que vous ayez inscrit votre enfant dans une école et tout un trimestre, tout un semestre, toute une année durant  sans se présenter dans son école pour voir évolution. Si le parent ne fait, alors il fait le lit à al divagation de cet enfant » renchérit-il

En définitif, la responsabilité c’est aussi aux différents  responsables des écoles qui, pour chercher l’augmentation de leurs effectifs, arrivent par fois à inscrire les élèves et écoliers sans documents attestant leurs réussites. Pour lui, limiter ce phénomène en ville et autres agglomérations, les chefs d’établissements doivent adopter comme principe de base : rendre publique leurs palmarès de fin de l’année via leur sites web et autres place publique afin d’éviter d’inscrire même quelqu’un qui n’a pas satisfait.

« L’école est censée publier ses palmarès  à la fin de chaque année. Si ces palmarès sont  vulgarisés, je crois qu’on pourra réussir à contrôler ces mouvements des élèves. Comme ça un élève qui a échoué telle part pour voir s’inscrire dans une autre école, l’école est capable de consulter le palmarès de l’école de provenance avant toute inscription. Selon le règlement scolaire, il est interdit d’inscrire en tout cas l’élève sans document attestant sa réussite. Et s’il ya certains qui les font, voilà ce qu’on appelle indiscipline. » a-t-l conclu.

Tout appelant les chefs d’établissement des écoles au respect strict de la loi et aux réglementations relatives au recrutement des élèves et écoliers au de leurs écoles respectives, PALUKU MAPENDANO Roland demande au même moment aux services étatique ayant à leur charge le contrôle et d’autres organisations gestionnaires des écoles de sanctionner toute personne qui sera entrain de chaque fois tomber dans la facilitation des genres de comportements.

Rédaction REB.TV