Insécurité dans la partie Orientale de la RDC, Monsieur VITAL KAMERHE souhaite voir les Elus du Peuple conjuguer leurs efforts pour voter une loi qui pourra rendre obligatoire le service national et le service Militaire pour toute la jeunesse du pays.
Le numéro 1 de la chambre du parlement a émis cette proposition à l’occasion de l’ouverture de la session parlementaire ordinaire samedi 15 mars 2025 en Ville province de Kinshasa.
Pour lui, l’avenir de la République Démocratique du Congo reste sa jeunesse qui est appelée à tout faire pour faire face à toute sorte de menace qui pourra encore toucher leur pays.
« J’en appelle ici aux dignes élus de s’engager avec sincérité dans la lutte contre toute forme de discrimination et stigmatisation pour rassembler tous les congolais de toute origine et appartenance politique autour de l’impératif de préserver la paix et la sécurité autant que les députés de notre territoire pour les générations actuelles et futures. C’est dans ce cadre que l’initiative législative portant sur la lutte contre le tribalisme, racisme et l’xénophobie devra faire objet d’une attention soutenue. c’est au prix du dépassement de l’horizon des intérêts individuels que nous réserverons notre pays spectre de la balkanisation qui plane sur lui depuis quelques décennies. Par ailleurs, il serait illusoire d’envisager la paix sans se donner les moyens militaire indispensables à sa pérennisation. Je rappelle donc l’impérative d’augmenter les capacités dissuasives de l’armée nationale. C’est pour cela que je vous invite à examiner la possibilité d’introduire sous le service nationale et le service Militaire obligatoire pour mobiliser de façon coordonnée et méthodique les forces vives de la nationale et particulièrement notre jeunesse au bénéfice de la défense nationale » a martelé le président de l’Assemblée Nationale Vital Kamerhé
Pendant ce temps, pour Jean-Michel SAMMA LUKONDE, président de la chambre haute du parlement, la réduction du trait de vie des institutions du Pays est l’un des sacrifices suprêmes pour faire face à l’agression Rwandaise aujourd’hui.
Redaction REB
