Après l’assassinat de Madame KALUME DEVOTE, domiciliaire de la cellule de la cellule KASESA, au quartier Kyaghala le dimanche 23 février dernier, la société exige des enquêtes sérieuses pour dénicher les auteurs de cet acte ignoble.
Tuée par un groupe d’hommes munis d’armés en feu dans sa maison vers 1h30 de dimanche, le corps de cette femme d’une quarantaine d’années a été retrouvé abandonner par ses bourreaux dans une parcelle voisine par les passants le très tôt le matin avec des signes des balles sur sa tète et sa jambe.
La société civile de la commune de Bulengera qui condamne ce nouveau cas d’assassinat dans sa contrée, pense qu’il est important que les services de sécurité redoublent la vigilance afin de protéger ses habitants et leurs biens à cette période où ces genres des situations se créent petit à petit des places dans la municipalité.
« Après l’avoir tuée par balles, ces bandits l’ont amenés dans une concession voisine. C’est le matin que le premier passant a eu à constaté ce fait. La société civile se dit trop inquiète de la montée en puissance de criminalité en commune Bulengera et profite pour condamner fermement ce cas de meurtre dans la région et appelle les autorités à leur responsabilité. Il est de même à les appeler à vite diligenter les enquêtes et nous fixer des résultats qu’elles auront à trouver face à ces meurtres, aux habitants à faire plus des vigilances ces derniers moments »a martelé John Paluku Kameta
Pour la société civile, au-delà de ces cas des meurtres, la commune fait aussi face à un autre problème communautaire, celui de la justice populaire, certes orchestrée par la lenteur dans le traitement des dossiers des certains présumés bandit arrêtés par la population.
REDACTION REB
