décembre 8, 2025

Aucun homme ne sentira plus alaise que lors qu’il se retrouve entrain de manger la nourriture lui préparée par sa propre épouse. Pour ce, faire plaisir à leurs maris, toutes les femmes sont appelées à devenir des bonnes cuisinières à partir de l’apprentissage de la préparation des différentes recettes au bénéfice de sa famille, mais aussi de toute la communauté.

Pour Madame RACHEL KANANGOYA, l’une des étudiantes des filières culinaire à l’Universitaire Libre des Pays des Grands Lacs « ULPGL », la place d’une bonne femme n’est pas au salon, mais plutôt à la cuisine où elle doit tout faire pour que son mari et ses enfants trouvent du bonheur à travers sa bonne façon de faire.

Cette étudiante qui intervenait dans une conférence-débat organisée à cette université protestante en Butembo ce samedi 08 mars 2025 à l’occasion de la célébration de la journée internationale de la femme,  décourage le comportement de certaines filles qui pensent qu’en ayant une cuisinière dans leur parcelles, qu’elles ne pourront plus jamais même apprendre à cuisiner.

Rachel KANANGAYA appelle aussi ceux qui se moquent de la femme cuissière à revenir à la raison car, selon elle, ce métier qui en résultent, au coté des connaissances qui s’améliorent qu’on arrive à mettre à la disposition du public ses services produits en tant que cuissière des produits marchands.

« Etre femme cuisinière ne devrait pas continuer à faire sujet d’une sorte de dédains au sein de la communauté comme cela s’observe dans plusieurs ménages aujourd’hui. Pour moi,  ces femmes doivent être plus respectueuses, partant du rôle qu’elles occupent dans notre vie. Elles font plaisir à leurs maris, enfants, mais aussi au grand public pour celles qui produisent pour le marché.  En tout cas, toute femme ou fille, sans distinction aucune, doit apprendre à bien cuisiner, pas seulement pour améliorer plus l’affection maritale mais aussi augmenter ses relations sociaux et économiques. A cet effet, j’interdit que les femmes apprennent aussi à se mettre au salon pour laisser les femmes cuisinières à faire ce travail à leurs maris, car c’est comme ça que certaines arrivent à abandonner leur amour aux autres » a insisté Madame RACHEL KANANGOYA

Il sied de rappeler qu’à la même occasion de son exposé dans une conférence débat organisée à ULPGL-Butembo ce 8 mars, madame RACHEL KANANGOYA encourage les filles à se performer dans la cuisson, alors qu’elles en ont l’occasion, pour ainsi parvenir l’autonomisation dans le futur.

REDACTION REB.tv

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